Couhé, chef-lieu de canton, sur la nationale 10, à 36 kms au sud de Poitiers, notre famille en vient, pour beaucoup, j’y suis née, les sœurs de maman y vivaient, bref, nos parents y ont acquis, en aout 1956, une ancienne auberge, maison de ville avec jardin et porche, et même, au fond du jardin, une petite écurie, que Pascale, à son adolescence, a retapée, et où elle a installé ses fours et son atelier(elle a commencé par les émaux de grand feu).
Pour nos parents, c’était là qu’ils se retireraient au moment de leur retraite, que papa a prise en septembre 1968.
Et en aout 1968, à 13 ans, Pascale a quitté Paris , où exerçait notre papa, avec les parents, et moi, je suis restée à Paris! Pascale a vécu , m’a-t-elle dit, cette séparation comme un très douloureux déchirement.
Couhé, chef-lieu de canton, sur la nationale 10, à 36 kms au sud de Poitiers, notre famille en vient, pour beaucoup, j’y suis née, les sœurs de maman y vivaient, bref, nos parents y ont acquis, en aout 1956, une ancienne auberge, maison de ville avec jardin et porche, et même, au fond du jardin, une petite écurie, que Pascale, à son adolescence, a retapée, et où elle a installé ses fours et son atelier(elle a commencé par les émaux de grand feu).
Pour nos parents, c’était là qu’ils se retireraient au moment de leur retraite, que papa a prise en septembre 1968.
Et en aout 1968, à 13 ans, Pascale a quitté Paris , où exerçait notre papa, avec les parents, et moi, je suis restée à Paris! Pascale a vécu , m’a-t-elle dit, cette séparation comme un très douloureux déchirement.