Nous sommes à Couhé, dans la maison parentale, acquise en 56, et « retapée » avec amour aux vacances scolaires, Pâques, Noël, été.
La cheminée, autrefois passée au Ripolin ivoire, a été poncée jusqu’à la pierre originelle, les poutres ont, elles aussi, été nettoyées jusqu’à l’os.
Pascale a vu , chez des amis, les Thierry La Fronde et Robin des Bois, elle adore ce genre de personnage, et elle pose ici dans son déguisement préféré, Robin des bois, on aurait pu également la voir poser en Davy Crockett.Je dis « elle a vu chez des amis », car nos parents n’ont accepté la télévision qu’en… 1968!
On peut voir que la cheminée est encore décorée de quelques restes de décorations de Noël, fête-phare dans la vie de Pascale, les Noël rassemblant notre petite famille lui étaient indispensables, avec son cortège de traditions, les cadeaux au pied de la cheminée, la bûche maison, l’arbre et ses guirlandes, il y avait quelque chose d’IMMUABLE qu’il fallait perpétuer coûte que coûte…
Nous sommes à Couhé, dans la maison parentale, acquise en 56, et « retapée » avec amour aux vacances scolaires, Pâques, Noël, été.
La cheminée, autrefois passée au Ripolin ivoire, a été poncée jusqu’à la pierre originelle, les poutres ont, elles aussi, été nettoyées jusqu’à l’os.
Pascale a vu , chez des amis, les Thierry La Fronde et Robin des Bois, elle adore ce genre de personnage, et elle pose ici dans son déguisement préféré, Robin des bois, on aurait pu également la voir poser en Davy Crockett.Je dis « elle a vu chez des amis », car nos parents n’ont accepté la télévision qu’en… 1968!
On peut voir que la cheminée est encore décorée de quelques restes de décorations de Noël, fête-phare dans la vie de Pascale, les Noël rassemblant notre petite famille lui étaient indispensables, avec son cortège de traditions, les cadeaux au pied de la cheminée, la bûche maison, l’arbre et ses guirlandes, il y avait quelque chose d’IMMUABLE qu’il fallait perpétuer coûte que coûte…