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Voici quelques témoignages de ses amis :
Doudou :
« Au plus loin que mon regard se porte, Pascale est dans le paysage. Elle fait partie de mon histoire ( de notre histoire, Chantal, Bibi), les Mousquetaires en quelque sorte ; et leur célèbre devise n’est pas loin de coller à la nôtre. Depuis une semaine, c’est tout un kaléidoscope d’images qui s’est mis en marche, des flashs, des rires fous, des moments forts, des coups de gueule, bref une vie, celle de tout un chacun mais avant tout la nôtre. Ce qui a fait la force de notre relation n’a jamais eu besoin de mots pour être décortiquée : elle s’expliquait par le lien indissoluble qu’est l’amitié au-delà des différences de perception et de personnalité. Un caractère fort, notre Poka, comme nous disions alors, bouillonnant, exigeant, passionné, anxieux que masquait ce rire sonore si caractéristique et cette parodie de voie enfantine qu’elle savait si bien prendre. Elle a fait de sa vie un monde de couleurs, d’esthétisme ou l’objet dans sa beauté première prenait tout son sens. Mais rien de tout cela n’aurait eu de valeur sans le sens aigu de la famille qui la caractérisait : ses parents, sa sœur, son neveu ; et le plus beau cadeau qu’elle m’ait fait, ainsi qu’à Bibi, c’est la fierté et le plaisir non dissimulés, qu’elle a eu de nous faire vivre sa redécouverte des lieux de sa petite enfance à Sfax , en Tunisie ».
Armelle :
» Pascale, tu as pris ton envol pour ce monde nouveau où nous te retrouverons. A la mort de Jérôme, tu guidais mon pinceau plein de larmes pour l’embellir de vie, de lumière. Nous restions de longs moments ensemble, seulement ensemble, sans rien nous dire. Puis à d’autres moments nous explosions de rire devant les milles choses du présent : les rencontres, les oiseaux, le temps, les fleurs… En souvenir de toi, en montagne, j’admire les fleurs, les plantes, les bestioles, j’aime les regarder dans leur univers naturel sans jamais les déranger. Il me vient en mémoire le départ de Boulette (le cochon d’inde des enfants) pour sa colonie de vacances chez ton Papa, à Couhé ; c’était unique, même la tortue se hâtait pour venir le voir dans sa cage posée dans le jardin. Nos rires à tous les trois étaient indescriptibles ! Samedi soir, 9 Juin, tu étais avec moi, car c’est la première fois que je crée une carte d’anniversaire : avec toi j’ai ouvert ma boîte de crayons de couleurs, avec toi j’ai écrit dans tous les sens, de toutes les couleurs et j’ai donné pour titre : le feu d’artifice ! Ainsi, tu m’as invitée à entrer dans la danse de la ronde créative qu’a été ta vie. J’accours et mille fois merci. A bientôt Pascale. »
Christianne
« Chère Pascale, c’est avec une profonde tristesse que nous te laissons partir loin de nous qui t’aimons tant, vers un monde dit meilleur ….
Pour nous, tu représentais la joie de vivre, la fidélité, la liberté. L’attachement à sa famille et ses amis ……… et tout ce qui fait l’essence d’un être sensible et précieux pour ceux qui le côtoient au quotidien.
Née en Tunisie, tu avais développé une grande nostalgie pour cette terre que tu avais quittée très jeune….C’est pourquoi tu as souhaité la redécouvrir, avec bonheur, il y a quelques années. Après une enfance en région parisienne, tu es venue à Couhé nous apporter ta gaîté, ton tempérament bouillant, un peu bougon parfois, et ta joie de vivre. C’est dans notre région que ses sont pleinement exprimées tous tes multiples talents artistiques.
Puisque tu nous a fait découvrir toutes tes magnifiques œuvres très inspirées, allant du travail de l’émail à froid et à chaud, passant par la peinture, sous toutes ses formes, et récemment la fabrication de bijoux originaux. Au cours de cette longue carrière artistique, tu avais récolté beaucoup de prix qui attestent de ton grand talent et ton énorme sensibilité.
Avec générosité, tu avais également donné de ton temps et de ton talent pour constituer un livre d’images utiles sur le langage des signes, afin de mieux assister à l’institution de Larnay, où tu travaillais, la nuit, dans une ambiance parfois douloureuse, assurant la garde d’enfants sourds-aveugles.
Tu as aussi fait preuve d’un grand dévouement pour soutenir ton père dans ses dernières années, ne comptant pas ton temps et ton énergie pour l’aider.
Ta grande passion depuis longtemps, c’était la brocante……et c’est ainsi que tu as pu découvrir, au fil des fêtes de village, tous les samedi et dimanche, tous les charmants petits coins de la région. Je me souviens t’avoir souvent accompagnée, et avoir dû rogner sur mon temps de sommeil……………. Pour toi, il fallait se lever à 5 heures du matin, pour être aux aurores, au cœur de l’événement, à glaner l’objet qui te ferait vibrer, ou l’ustensile dont tu pouvais avoir besoin. Tes vacances devaient être instructives ou constructives. Sur l’île de Noirmoutiers où nous avons séjourné plusieurs années de suite, pendant les grandes marées de septembre, tu as été mon guide pour apprendre la pêche aux crevettes. Tu étais profondément attachée à cette côte atlantique, ou enfant, sur l’île de Ré, tu avais passé toutes tes vacances.
Et aujourd’hui nous, ta famille et tes amis, sommes tous tristes et ton absence pèse sur nos cœurs.
Repose en paix chère Pascale dans l’au-delà. »
Jacques
» Maintenant qu’il ne nous est plus possible de te voir ni de te toucher, je réalise la place que tu as tenue dans ma vie. Nous avons été collègues au travail ; j’étais ton directeur, tu étais veilleuse de nuit. Le travail et ses règles administratives imposent des différences de rôle et parfois de reconnaissance, mais depuis que j’ai pris ma retraite, je suis heureux de pouvoir penser librement qu’avec tous nos collègues, nous accomplissions ensemble une œuvre avant tout dirigée vers les enfants sourds-aveugles dont tu étais, la nuit, l’une des gardiennes. Pour les familles, tes collègues et les élèves, tu étais l’un des piliers de sécurité de ces enfants qui passaient la semaine loin de leur famille. Dans ta carrière professionnelle, il y eut aussi un épisode pendant lequel tu as fait profiter les enfants et tes collègues de tes talents de créatrice en animant un atelier d’art. Cette expérience, qui n’a pas pu se prolonger pour des raisons financières et administratives, a témoigné de ta capacité à comprendre la façon dont ces enfants sourds-aveugles ressentent le monde, à les rendre créatifs, et, en un mot, à en faire des artistes, ce qui constitue probablement le meilleur contexte imaginable pour leur développement.
Tu n’étais pas seulement veilleuse de nuit et plasticienne. Il t’arrivait aussi de composer des chansons et de les chanter en public. Tu avais réussi à me convaincre d’en écrire les musiques et nous en avons enregistré quelques unes, en compagnie de mes compères musiciens de l’époque, Alain et les deux Patrick. Je n’ai pas de trace sonore des quelques occasions où elles furent présentées à un public, lors de fêtes du comité d’entreprise ou pour un spectacle mémorable à la M3Q de Poitiers. J’ai retrouvé une cassette audio enregistrée en studio et comportant quatre titres. L’une de ces chansons est particulièrement émouvante. Elle s’intitule « Gardienne de la nuit ». Elle résume tout ce que tu étais et je suis heureux que nous puissions continuer à entendre ta voix, cette voix qui, peut-être mieux encore que des photos, te garde parmi nous. »
Michèle
« Pascale,
Passion,
Passionnée de la vie, des mots, des couleurs, des éléments à dessiner, à peindre, à confectionner sous les formes les plus diverses : écriture, émaux, bijoux, peintures, aquarelles …
Aux matériaux de la vie, toujours en recherche, tu as donné des formes que tu transmettais, que tu nous offrais, celles de tes créations, de tes collections, celles de tes écrits !
L’échange, pour toi essentiel, reflétait ton exigence, était enrichissant, parfois joyeux, parfois tragique, avec cette force du rire et du désespoir mêlés.Pour tout cela, pour ma famille et mes amies, ru restes unique et je t’en remercie. »
Monique
Un grand éclat de rire
beaucoup de caractère et d’énergie
et surtout, un talent fou …
c’est toi, Pascale.Pascale, je t’ai connue lycéenne, quand tu interprétais le personnage d’Antigone dans la pièce d’Anouilh, pour la fête du lycée de Civray. Un personnage d’adolescente exigeante, éprise d’absolu … Un personnage qui te ressemblait. Plus tard, j’ai écouté, émue, tes chansons, ta voix profonde, grave, puissante, tes textes, qui vont droit au cœur et qui donnent à méditer sur le sens de notre quotidien. Parmi toutes tes chansons, je préférais celle que tu avais intitulée « Gardienne de la nuit ».
Pascale, tu es peintre, un peintre a la palette chaude, riche, éclatante
Tu es la créatrice de bijoux insolents
Tu es le talent dans toute sa diversité
Tu es la créativité et l’amour de l’art qui donne son sens à la vie.Pour moi, Pascale, tu es de plus une amie fidèle et très gaie. Nous avons partagé des étés à Avignon où nous réunissaient les spectacles du festival. Je souris en pensant aux après-midi vécus à la piscine de Carpentras, où, avec une patience pleine d’humour, tu te prêtais à un numéro nautique de ton invention « le cirque Ramir » … pour le plus grand bonheur de Yovan et de Mileva alors dans leur petite enfance.
Pascale, dans les moments les plus difficiles, tu restes créatrice … cartes de vœux aux couleurs de lumière … découpages … c’est de l’hôpital que tu nous les adressais. Dans ta correspondance, tu exprimais l’amour de la vie, de la beauté des choses et du monde, ton amour du jardin, des fleurs, de ce qui donne la force de résister à la maladie, de ce qu’on partage avec ceux qu’on aime.
Pascale, tu restes présente dans nos cœurs par tout ce que tu nous as offert à travers ton œuvre, par ta générosité de femme et d’artiste, par tout ce que tu es.
Simone
« Je suis morte je me suis réveillée sans mon corps
tiède encor et toute ensommeillée de ce rêve embrouillé
qu’on appelle la vieEnvahie d’une absence de froid
j’ai senti comme un semblant de joie
sans effort et sans gueule de bois
je revenais à moi comme on revient au port …Le décor n’était plus rouge et gris …
Avais-je atteint l’aurore, en traversant la nuit ?
Evanouis les ennuis, les envies, les envols,
les coups d’bol, les coups d’gueule, les coups d’pied,
les coups d’cœur, les coups d’pied au cœur,
effacés les mots faciles, les « qui perd gagne »,
les mâts de cocagne, les imbéciles …Sans mon corps je me suis réveillée
de ce rêve effréné qui prélude à l’oubli
éblouie d’une perte de peur j’ai souri à l’absence des heures …Je suis morte, je me suis redressée sans mon corps
sans façon, sans forcer, sans remords
enfin débarrassée de ce rêve harassé
qu’on rêve pour la vie… »d’après Gérard Gaillagnet,
Pascale, c’était la gaîté et la joie de vivre……………… et nos longues conversations au téléphone a refaire le monde ponctuées en permanence d’éclats de rire me manquent énormément.
Quand je regarde cette photo d’ école 1971………………… c’ st ton visage illuminée d rire qui ressort de tout ce groupe de classe……………… tu abordais cette première année de lycée dans la plus grand joie……………. Et c’ est la bas que ton talent artistique allait s’ éveiller avec la technique des émaux.
La petite flamme s’ est éteinte ………………… ne reste plus que les souvenirs et les photos.
La kiki comme tu m’avais baptisée
Mon Pascalou.
On dit que les personnes « partent », mais comment pourraient-elles partir vraiment tant qu’elles sont si présentes en nos coeurs?
J’ai fait ta connaissance tardivement et nos fous-rires ont pris beaucoup de place dans nos rencontres! Les animaux et la nature étaient des points communs, tu as même essayé de me faire peindre! OUAHOU! ! Quelle aventure!
Joie, douceur, écoute, bienveillance sont les mots qui me viennent à l’esprit quand je pense à toi.
Sois heureuse où que tu sois, chante, ris, raconte des histoires, tu restes dans mon coeur.
A Pascale,
Merci de m’avoir éveillée à l’art en même temps que les enfants déficients visuels qui ont eu le bonheur de travailler avec toi, pendant plusieurs années.
Chaque semaine, avec beaucoup de talent, tu leur présentais un peintre célèbre ; tu leur faisais connaître sa vie et son œuvre et les invitais à travailler, à s’exprimer à la manière de l’artiste, de Salvador Dali, par exemple, ce peintre de génie si attrayant.
Que de merveilleux moments nous avons passés ensemble à partager les rires et les émotions des enfants qui exprimaient leurs joies, leurs inquiétudes, leur sensibilité, leurs tourments par rapport au ressenti de leur handicap. On ne peut oublier ce petit garçon qui apprit à lire, grâce à toi, après avoir exprimé beaucoup de ses souffrances dans les peintures qu’il réalisait avec beaucoup d’habileté.
Tu m’as invitée à entrer dans l’art et depuis je continue à fréquenter les cours à la faculté de Poitiers. J’ai beaucoup appris à tes côtés et je ne peux oublier les moments que nous avons partagés, toujours avec autant de plaisir.
Je ne peux arpenter les vide-greniers et les brocantes sans avoir une pensée pour toi. Tu restes présente dans mon esprit et tous les anciens élèves que je rencontre, aujourd’hui, me parlent de toi et gardent un excellent souvenir des cours d’art thérapie que tu animais avec tant de passion.
Merci pour tout
Marie Thérèse
deux ans ou presque, ma petite sœur chérie, et je refais pas à pas ton chemin de croix de 2012, jusqu’à ce jour de juin où l’esprit de maman est venu t’emporter avec elle afin que tu ne connaisses plus ni douleur, ni frayeur, ni chagrin d’aucune sorte.
Ici-bas, il y a de grandes et belles joies, des expos magnifiques que je visite avec tes yeux d’artiste, des vagues de chagrin qui vous submergent, et beaucoup d’amies qui t’ont admirée, aimée, et soutenue dans les moments difficiles de ta vie passionnée comme celle de Van Gogh, et qui pensent à toi, il y a même une petite Alix qui sculpte des créatures bizarroïdes, que tu aimerais , et qui vient de mettre un lien de son blog à ton site-hommage, et je m’en réjouis, car de nouvelles personnes vont te découvrir, toi et tes œuvres…
Je bénéficie de cet anniversaire pour dire ici la qualité et l’intensité des moments passés en compagnie de Pascale, artiste jusqu’à la pointe des cheveux, toute entière occupée par son art. Je l’ai peu côtoyée et pourtant chaque rencontre fut chaque fois forte… comme si nous nous connaissions depuis toujours. Une de ses oeuvres simplement offerte par sa soeur pour mon anniversaire (!)illumine ma pièce à vivre principale. Au moment où j’écris ces lignes je pense très fort à toi, Pascale…
Pierre Frenkiel
Pascale
Pour moi, même dans le silence, tu n’es pas partie. Quand je pense à toi ce sont souvent le partage des fous rires irrésistibles pendant les cours aux Beaux-Arts, les délires à propos d’une fameuse corne de rhino pour laquelle tu m’as réveillé un matin aux aurores, les repas partagés et cette image que je garde précieusement où tu apprenais les rudiments de l’aquarelle à mes filles qui me reviennent.
Ce sont tous ces partages et bien d’autres encore qui sont ton empreinte en moi, une empreinte que je ne peux oublier.
L’essentiel est que tu sois toujours là, dans nos pensées et dans nos cœurs.
Gustave
déjà 2 ans! mes pensées montent très haut en ce jour de Pentecôte pour se perdre dans cet azur presque immaculé d’où tu nous observes… peut-être; images mentales: un sourire, un éclat de rire et toujours grâce à ton monde de couleurs qui m’accompagne dans la maison, un contact direct et quotidien.
Merci, Marie-Séverine pour ton clin d’œil….
Pascale
ça fait 2 ans et je ne peux pas t’oublier, je ne le cherche pas d’ailleurs…
Tu es là, présente, quand je fais de la sculpture, car c’est grâce à toi que je peux aujourd’hui, m’exprimer par l’Art…
C’est toi qui m’a ouvert les yeux et la conscience… Je ne savais pas que je pouvais faire, toi tu en étais sûre… Tu avais confiance… Merci à toi
Alix
trois ans ont passé, ma soeur aimée, admirée,passionnée, j’ai passé le 9 juin dans une chambre , à Canton, j’ai eu le temps de penser à toi, sans pleurer, avec ce poignant regret de ne pouvoir plus partager les moments de beauté qui surgissent
d’une visite au musée ou d’une promenade au bord de la mer, de Chine ou pas!
un ami qui t’a admirée me souhaite un « souvenir calme sous la lumière tranquille du temps » …
Bientôt quatre ans, Pascale aimée, que tu as rendu ton dernier souffle entre nos bras;la douleur, le chagrin, la révolte, les pleurs, peu à peu laissent place à une autre forme de tristesse , tu es présente dans tant d’activités, la chanson, les voyages, l’amour absolu des arts vivants, c’est comme si tu vivais et regardais à travers mes yeux, souffrais dans mon coeur, t’émerveillais en même temps que moi!
Mais que tu manques, si tu savais! Le monde n’a plus la même saveur sans toi, et la beauté des roses est encore une insulte au fait que tes yeux ne les contemplent plus .
le 9 juin 2017, cela fait 5 ans que tu t’es envolée, chère petite soeur adorée. Je pense bien souvent à toi, et je t’ai parlé ce jour là , du bord de la mer, où tu m’avais demandé de t’emmener sur le derniers jours de ta vie, quand tu t’éteignais aux soins palliatifs de Saint-Denis… Cela n’était déja plus possible, et je le regrette toujours!
Je t’aime, ma bien chère petite soeur disparue.
2020, janvier; en juin, cela fera donc 8 ans que ta petite grande âme s’est envolée vers un ciel sans douleurs
Beaucoup d’amis et de disciples pensent toujours à toi, et , en t’évoquant, te font revivre le temps d’un éclat de rire, lors d’une belle expo, ou en visitant ces Musées parisiens que tu aimais tant: Branly, Orsay, Beaubourg…le Petit et le Grand Palais …
Ton oeuvre demeure, et elle me touche chaque jour davantage
Tu vis en moi, et je te suis si reconnaissante d’avoir partagé avec moi et les miens tant de beaux moments
encore une tendre pensée de ta grande soeur , tu t’es envolée un 6 juin, en 2012, on est aujourd’hui en 2023 , le manque est différent mais la douleur toujours poignante, je parle de toi avec ceux et celles qui t’ont connue, ou j’évoque ton art et ta vie avec les petites-filles qui ne t’ont pas connue, que tu aurais aimé rire et faire des tas de choses avec elles!